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  • Kick

    Photo original by Andrew Pescod sous license by-nc-sa 2.0.


    Tout les analystes/blogueurs et autres passionnés l'ont maintenant comprit, au temps d'internet, gérer l'image d'une entreprise n'est plus du tout la même affaire qu'il y a cinq ans de cela.

    Les entreprises commencent plus ou moins à le comprendre. Du coup, elles essayent de se mettre à la page.

    Le premier bon réflexe est d'être présent sur internet. Avoir une fan page Facebook, un compte Twitter, ect... Il faut aussi savoir s'en servir! Et oui, fini le temps où l'on communiquait dans un seul sens. Aujourd'hui, les gens parlent entre eux et la société ne représente qu'une petite partie de ce qui est dit sur elle. Elle doit donc communiquer d'une nouvelle façon. C'est là qu'on engage un Community Mannager(CCM). Son boulot est de communiquer avec la communauté, répondre aux différentes interrogations, «prendre la température» et enfin, gérer les crises.

    Mais de plus en plus, on se rend compte que cela ne suffit plus. Car oui, le Community Mannager ne fait au final que le boulot d'un publicitaire. Il gère l'image de la société.

    Or, ce que fait internet, ce n'est pas qu'apporter aux consommateurs la faculté de parler de la société, c'est aussi cette fameuse chose que l'on appel le buzz. Le buzz est une information non contrôlée. Comme j'ai l'impression d'être aussi clair que le prof de math de Jean Claude Van Damme, je vais vous donner un exemple pour illustrer mes propos:

    Supposons que demain, d'une façon ou d'une autre, nous découvrions qu'une grande société X fabrique des technologies de surveillance et les vend à un dictateur qui s'en sert pour faire travailler des petits enfants au fond d'une cave.

    Bien sûr, cette société possède un CCM et interagit avec sa communauté via différentes activités online/irl.

    Cela suffira t-il à sauver l'image de la société? Jean-Hugues, consommateurs de son état, qui voyait là notre société X comme une société tout à fait respectable apprend que cette société fait des choses immorales. Bien sûr que l'image de la société en sera ternie.

    Peut importe que la société interagisse avec sa communauté, internet et son buzz force la transparence. Si la société essaye d'ignorer le problème, cela empirera sa situation, l'affaire Nestle l'a prouvé. La solution est de s'expliquer. Mais comment notre société X pourrait-elle justifier la vente de technologie de surveillance à une dictature? C'est extrêmement délicat. La seule solution est donc, en amont, de ne pas le faire. Et c'est là que les choses deviennent intéressantes. Si une société, en plus de communiquer avec sa communauté et d'organiser des choses avec celle-ci, de peur de ternir son image, se met à respecter la morale général, elle s'humanise. Elle n'est plus dans le monde du spectacle. Elle entretient un VRAI rapport avec sa communauté. Un rapport comparable à celui qu'entretenaient les petits artisans, avant l'industrialisation.

    Pour ma part, je vois cela d'un très bon œil. Les sociétés font leur travail, en toute honnêteté, le consommateur apprécie la société, la société apprécie le consommateur. On peut même espérer qu'à partir de cette situation, le but premier d'une société ne serait plus forcément de faire de l'argent, mais d'entretenir un bon service, afin de satisfaire sa communauté. Dans ce cas là, cela pourrait avoir d'immenses répercussions sur plein d'autres choses. Mais nous n'y sommes pas encore. Pour l'instant, les sociétés commencent à peine à engager des CCM.


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  • Gameboy

    Photo original par Stéphan. Licence by-nc-sa 2.0.

    Aujourd'hui, dans le monde merveilleux des jeux vidéos, on distingue trois grands acteurs:

    -Nintendo, société existant depuis le début de l'histoire du jeu vidéo. Leur stratégie chez Nintendo consiste à faire croire qu'ils inventent de nouvelles façons de jouer à chaque console. Nous y reviendrons.

    -Playstation, filière appartenant à Sony. Eux leur but, c'est de créer un média center. Créer une console qui, en plus de permettre aux utilisateurs de jouer, leur permet de voir des films, des photos, écouter de la musique, aller sur internet... Faire un ordinateur en moins bien quoi. Nous y reviendrons.

    -Xbox, filière du diable de microsoft. Eux, ils n'ont pas vraiment de stratégie. Ils essayent plus ou moins de copier sur Sony en essayant de faire du pognon(oui, jouer en ligne sur la playstation 3, c'est gratuit, sur la Xbox 360, c'est payant). Nous n'y reviendrons pas. C'est de la merde, dépourvu d'intérêt.

    Intéressons nous à la stratégie de playstation. Leur supeeeeeer console, la playstation, qu'ils veulent super méga trop génial car c'est un média center. Faudrait peut-être aller leur dire aux mecs de chez Sony que les ordinateurs, ça existe depuis plusieurs décennies maintenant. Bref, cela nous oblige à nous poser certaines questions. Puisque j'ai déjà une playstation 3 en mieux(un ordinateur donc), pourquoi devrais-je m'acheter une playstation 3? Et bien c'est simple. Aujourd'hui, l'interopérabilité, dans le monde des jeux vidéos, on lui pisse dessus. Cela signifie que si, j'ai par exemple envie de jouer à Mario Super Galaxy avec ma magnifique Playstation 3, je peux aller me faire mettre. Si on veut pouvoir jouer à tout les jeux, il faut avoir toutes les consoles. Aberrant. Maintenant, revenons en aux ordinateurs. Dans le monde de l'informatique, il existe des standards. Pourquoi, quand on peut brancher une manette à un ordinateur, avec des formats ouverts, devrait-on développer un jeu exclusivement pour une console fermée, qui plus est inférieure aux ordinateurs déjà sur le marché?

    Du point de vu du consommateur, la question est un peu différente: pourquoi devrais-je acheter un ordinateur ET un ordinateur en moins bien(une console de jeux) pour pouvoir jouer à des jeux?

    Bon, il y aura sûrement deux ou trois petits malins pour venir m'expliquer que l'ordinateur ne gère pas forcément aussi bien les jeux vidéos qu'une console. Et bien si. Le matos existe. Si on est capable de faire tourner un jeu sur une playstation 3(qui je le rappel est un ordinateur en moins bien), pourquoi ne pourrais-je pas faire tourner un jeu sur un vrai ordinateur?

    A partir de là, on peut avancer que dans le futur, les consoles de jeux n'existeront plus. On jouera(et on le fait déjà) sur nos ordinateurs. Du coup, l'interopérabilité sera la norme. Et oui, développer un jeu pour un ordinateur, c'est le faire une seule fois. Je pourrais jouer avec la même machine(mon pc donc), à la fois à Super Mario(ce jeu de drogués où l'on apprend aux enfants que se chouter aux champignons qui poussent sur les tuyaux du centre pompidou, c'est bien) et a God of War (ce jeu où, de façon ludique, on en apprend plus sur la mythologie...).

    Maintenant, certains pourraient essayer de justifier l'inexistence d'interopérabilité entre les consoles par la stratégie de Nintendo. «A chaque nouvelle console, un nouveau truc, le double écran avec la DS, la manette qui suit les mouvements avec la Wii, on peut pas faire ça avec un ordinateur, piapiapia, piapiapia...». Et bien c'est faux! Oui, on peut jouer sur deux écrans avec un ordinateur. On appel ça le dual screen et ça existait déjà, bien avant la DS! On peut jouer avec un écran tactile sur son PC, plusieurs solutions, une tablette PC, ou un petit écran tactile branché en USB(un Nexus One par exemple). Oui on peut brancher une manette qui suit les mouvements de l'utilisateur. Je vous annonce même que ça aussi ça existait bien avant la Wii. A peu prêt toutes les innovations de Nintendo sont des choses qui existaient déjà dans le monde informatique, voir du jeu vidéo.

    Si nous suivons la logique que les consoles vont disparaître au profit des ordinateurs et d'internet, pourquoi ne pas imaginer que le jeu libre puisse se développer? Il rencontrera certainement les mêmes problèmes que le cinéma, manque de financement, tout ça... En fait, pour dire vrai, le jeu libre existe déjà(exemple). Oui, on peut trouver des jeux sous licence libre. Mais créer un jeu, ça prend du temps, parfois de l'argent. Comme la musique et le livre me direz-vous. C'est vrai, mais en pire. Comme un film je serais tenté de vous corriger. Mais quand le système économique sera changé, le cinéma et le jeu vidéo libre se développeront comme jamais, sur des supports interopérables, et vous verrez, ce sera bien.

    Et les consoles portables?

    Les consoles portables, c'est une autre histoire. Ca prendra certainement plus de temps  pour avoir des jeux libres et interopérables avec les supports. Je pense qu'il faut voir du côté des téléphones portables pour ça. Mais il est vrai que ce n'est pas avec tous les téléphones portables que je peux avoir le double écran de la DS. Mais, allez savoir ce que nous réserve les technologies de demain.


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  • Mark Zuckerberg à la F8

    Depuis la dernière F8, on entend beaucoup parler de Facebook, notamment à cause de son nouveau système, «l'Open Graph». Mais qu'est-ce que l'Open Graph? Et bien c'est un système qui revoit en profondeur le fonctionnement de Facebook. Jusque là, on se servait de Facebook de façon très privée, pour communiquer avec ses amis(en majorité du moins, il y a toujours eu quelques ploucs pour laisser leur profil ouvert et le garnir de centaines d'inconnus). Mais l'Open Graph va tout changer, donnant une dimension beaucoup moins privée à Facebook. N'entendais pas par là que Facebook deviendra un site sur lequel on vous interdira d'afficher votre vie. Au contraire, on veut vous inciter à laisser votre vie privée afficher au yeux du monde. Un peu comme si vous viviez portes et fenêtres ouvertes, avec des caméras dans chaque pièce. Bien sûr, hors de question de demander à l'utilisateur son avis, les paramètres de confidentialité seront par défaut réglés de façon à afficher votre vie privée à toute personne le voulant. Facebook va donc se mettre à vendre vos informations personnelles. Cela fait donc énormément parler les défenseurs de la vie privée.

     

    Mais ce n'est pas tout. Ce système rendra aussi Facebook omniprésent sur internet. Partout où vous irez, blogs, vidéos sur les sites de streaming(comme Youtube ou Dailymotion), sites d'actualités, ect... Partout vous trouverez le fameux bouton «J'aime». En clair, le Facebookien surf sur le net, trouve un contenu qui lui plait, indique qu'il aime, et ce sera indiqué dans la time line de ses amis. Ca peut paraître anodin comme ça, mais cela est un véritable danger pour les moteurs de recherche comme Google ou ASK, puisque les gens vont passer moins de temps à rechercher les contenus, puisque ces même contenus viendront à eux directement sur Facebook, recommandés par leurs amis.

    Facebook sera donc partout sur le web, et ça, ca fait autant parler que les problèmes de vie privée.

     

    Voilà donc les deux grands axes sur lesquels se concentrent les conversations autour de Facebook. Facebook va devenir super balèze.

    Pour ma part, je pense que, si dans un premier temps, Facebook connaîtra des effets positifs, il crèvera comme une merde par la suite(et ce sera bien fait, personne ne vend ma vie privée, personne!!).

    Comment je le sais? Et bien après que l'open graph ait été annoncé, j'ai réfléchi à un moyen de protéger nos vies privées de ce fou de Mark Zuckerberg(ndla: fondateur, PDG et actionnaire majoritaire de Facebook). Voilà la conclusion:

    Facebook est devenu un élément indispensable dans la vie de beaucoup de gens, envisager la possibilité que 400 millions de membres le quitte purement et simplement est juste aberrant. Il faut donc proposer une alternative. Un nouveau site, dont le fonctionnement de base serait identique ou très proche à celui de Facebook(attention aux problèmes de brevet) mais qui serait vachement plus roxor pour plein de petites raisons.

    Heureusement, Facebook a prouvé à plusieurs reprises que ce qui l'intéresse le plus n'est pas l'avis du consommateur. Combien de fois les utilisateurs ont demandé le bouton «Je n'aime pas»? Il n'a toujours pas été rajouté. De plus, l'argument d'un site laissant le contrôle de leurs vies privées à ses utilisateurs va vite devenir très important, de plus en plus de gens s'intéressant aux problèmes de vie privée. Techniquement, ce à quoi j'avais pensé été un système proche de Jabber. Le principe du «Minitel 2.0» est quelque chose qui pose problème sur internet, le casser est synonyme de profité de toute la beauté d'internet. Un site décentralisé, open source et libre de droits, comme Jabber, mais en étant un réseau social. C'est ce à quoi j'avais pensé juste après l'annonce de l'Open Graph. Mais à priori, d'autres personnes ont eu la même idée que moi. Diaspora, Movim. Ce sont les noms de projets de sites sociaux basés sur un schéma décentralisé.

    Ces sites, de par leur qualité nettement supérieure, éclipseront Facebook en quelques années, de la même façon que Facebook éclipse en ce moment Skyblog et MySpace. Et d'ailleurs, cela ne s'arrêtera pas à Facebook. Twitter et tout les autres aussi. Après tout, pourquoi les internautes devraient-ils confier leurs informations personnelles à des société privées?

    D'ailleurs, je me demande même si cela n'est pas le début de la fin de plus grands acteurs, tel que Google. Prenons Youtube(qui appartient à Google) par exemple. Il existe déjà des astuces pour s'auto héberger pas cher. Demain, ces astuces seront mieux connues et plus développées. Les ordinateurs du monde entier ne seront plus seulement des clients, mais aussi des serveurs. A ce moment là, Youtube ne sera t-il pas obsolète?

    Mais je m'égare... Revenons au sujet initial, Facebook et son Open Graph.

    Si mes suppositions s'avèrent juste, combien de temps cela prendra t-il? Sincèrement, je ne pourrais vous le dire. Il faut d'abord attendre que les sites soient développés. Que l'un d'entre eux soit suffisamment avancé en terme d'outils(pour utilisateurs), aussi simple que Facebook, suffisamment ouvert pour pouvoir assurer la pérennité des donnés à jamais. Un réseau social calqué sur Jabber et aussi simple à utiliser que Facebook. Tout un défi! Je vois déjà comment ça se passera. Comme d'habitude, c'est la blogosphère qui soutiendra les projets, qui en comprendra les enjeux en premier et qui désertera les réseaux sociaux de la préhistoire(Facebook, Twitter, ect...). Puis les internautes un peu moins au courant suivront. Puis enfin les kikoolols abandonneront Facebook(quoique! Ils sont résistants les bougres. La preuve, Skyblog est encore vivant! Si si, j'vous jure).

    Pour ma part, je suis de très prêt ce genre d'initiatives. Je pense sincèrement qu'il s'agit de l'avenir du web.


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  • "Réflexion sur le blocus", c'est un titre que je trouve vraiment moche. Je le laisse parce que j'ai sincèrement pas envie de me cassé les couilles.

    Après le blocus, notre prof de français décida de nous faire un sermon sur l'inutilité de notre action. Je ne vais pas vous le repassé surtout que je ne m'en souviens pas, seule une vague impression de "ELLE A TROP TORD!! Scregneugneu... ~flemme de contredire, pas assez dormis~" me reste de son discourt, ainsi que l'idée la plus paradoxale et véridique de surcroît: "vous défendez l'école et l'éducation en empêchant les élèves d'aller en cours?! BOUDIOOOOOU o_O" ".  C'est vrai. Après tout, si on part du principe que le gouvernement est un ennemis(oui j'ai des tendances anarchiste, normal, je suis un adolescent)alors on peut emmètre le raisonnement suivant: sa les arranges qu'on ne se cultive pas et qu'on s'auto détruise en bloquant l'accès à nos propres bahuts. Alors quel intérêt? Deux réponses possibles, la première: 42. La deuxième, un peu plus développé quand même est une autre question: et si il n'y avait pas de blocus?

    Et bien il n'y aurait rien. En effet, le blocus n'est-il pas fait pour attirer l'attention? Oui mais l'attention de qui? De nos politiques corrompue? Non! Celles des lycéens et éventuellement des profs, dans le cas ou ceux-ci seraient concernés. Enfaite, le blocus, c'est un peu de la pub, "regardaient, le gouvernement il est trop méchant, bouuuh, manif!!". Malheureusement, j'ai pu constaté que beaucoup d'élèves pensaient que nous ne faisions des blocus que dans l'unique but de ne pas avoir cours. C'est vrai, c'est 1000 fois plus jouissives de se retrouver dans la rue, sous la neige, à 07h00 pour tirer des poubelles, puis rester des heures sous le froid pour que notre barrage ne soit pas enlever pas les forces de polices(et par le principal qui était vraiment vénère, nan sans dec, il a foutu un chassé dans la gueule d'un élève qu'il a confondu avec une poubelle oO") plutôt que d'aller en cours, là ou il y a des chauffages et aussi des profs pour nous apprendre et tout ces trucs, fin' vous voyez de quoi je veux parler.

    La solution(pour rendre le blocus encore plus utile, suivez un peu bordel!): Acheter un mégaphone. Oui oui, puis à une heure stratégique(l'heure ou y a plein de monde) expliqué en étant le plus éloquent possible pourquoi on fait blocus, et insister comme un fou sur l'heure et le lieu de la manif tout en chauffant la salle(même si en général un blocus sa se passe à l'extérieur). Ou alors on peut emménager en Australie avec des kangourous pour voisins...

    Maintenant, mon article terminé, je ressent comme un vide au plus profond du dedans de mon corps, ce qui me fait quand même chier parce que sa veux dire que j'ai rien bouffer depuis au moins trois heures. Je m'en vais(en volant) donc, moi, petit pourfendeur de rien du tout, vers ma cuisine et au delàààààà!(putain, c'était vraiment ridicule comme fin).


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