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Alors que je m'étais à jour mon article "Hadopi pour les nuls", je me suis rendu compte que le réseau des pirates n'était plus en ligne. Je remets donc leur texte(texte que j'ai signé) en ligne ici même. Je l'avais repris au cas ou, j'avais bien fait!
"Nous sommes des millions, ils font de nous des pirates.
Je prends le parti des pirates.
Ils sont, nous sommes, des millions, en France, chaque jour à échanger des oeuvres: des tubes, des films à la mode, mais aussi des films et des disques rares, introuvables, des œuvres oubliées ou «tombées» dans le domaine public.
Ces pratiques sont là pour durer. Elles sont inscrites dans la révolution numérique.
Les tentatives d'interdire les échanges sur Internet - par l'intimidation ou par le filtrage - sont vaines.
Leur coût en termes de libertés publiques est inacceptable.
Cantonnées dans la clandestinité, ces pratiques de partage ne donnent pas, il est vrai, le meilleur d'elles-mêmes.
C'est au grand jour qu'elles révéleront toutes leurs potentialités.
Il est grand temps de reconnaître ces pratiques. De cesser cette guerre contre le public et la jeunesse.
En attendant ce jour, je prends le parti des pirates.
Je déclare que je suis l’un d’entre-eux.
Je déclare avoir consommé, remixé ou diffusé des œuvres culturelles.
Alors, pour eux je suis un pirate."
Le pacte des pirates. /-)
Je vous invite d'ailleurs à le reprendre sur votre blog si vous en possedez un.
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Petit cours de rattrapage pour ceux qui ignorent encore ce qu'est le No Sarkozy Day(NSD).
le 6 décembre dernier, une manifestation gigantesque eu lieu en Italie, le No Berlusconi Day. Cette journée avait pour but de dénoncer la politique du président du conseil(équivalent du président de la république), Berlusconi. Cet appel à la manifestation avait été lancer sur internet par un collectif de blogueurs et avait réussi à faire descendre dans la rue un total de 500 000 personnes. Un demi-million.
Cela a inspiré certaines personnes en France, c'est ainsi que le No Sarkozy Day est né. Le mouvement n'est raccordé à aucun(e)s partie politique, syndicat ou associations. C'est un mouvement populaire. Il a donc pour but de dénoncer la politique de Sarkozy: politique de la peur, censure, division du peuple, insulte aux citoyens, attaques aux fondamentaux de la république française, ect, ect...
Le No Sarkozy Day a donc été prévu pour le 27 mars 2010. Nous sommes le 27 mars. Il a eu lieu. J'y étais.
Tout d'abords, je tiens a dire que cela n'a pas été un flop totale comme certains l'avaient annoncés. Non, nous n'étions pas 20. nous étions des milliers. Pas autant que le No Berlusconi Day malheuresement.
Mais ce fut néanmoins sympathique. D'ailleurs, c'est pas fini, le mouvement reprendra le 8 mai. J'ai d'ailleurs bien rit, particulièrement à un moment, mais il vaut mieux que je vous la refasse:
No Sarkozy Day: EST-CE-QUE VOUS VOULEZ DU CHAUMAGE?
Foule: OUAIIIIIIIIIS
No Sakozy Day: Putain, mais ils sont cons!
Mais après cela, la foule est devenu intelligente
Le reste c'est fait sans problèmes particulier.
Vivement les 8 et 9 mai.
http://www.no-sarkozy-day.fr/
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"Une journée sans Facebook". C'est une idée que j'ai eu quand j'ai reçu une invitation à l'événement "Journée mondial sans Facebook". J'ai trouvé cela intéressant, savoir si j'étais accro ou pas à Facebook et si oui, dans quelle mesure.
Je l'ai donc fait et le résultat est plutôt inquiétant, je l'avoues. J'ai tenu 40 minutes. Le défi a commencé à 00h00, à 00h40, je me retrouvais devant le speed dial de mon navigateur, sans savoir quoi faire, c'est donc par réflexe que j'ai chécké ma time line Facebook. :(
Le lendemain, j'ai à nouveau cliqué sur Facebook par réfléxe à plusieurs reprises. Ce n'est que le soir que j'ai dû vraiment renoncer à ce défi, question de vie ou de mort, mes amis ayant pris des photos particulières, photos que nous, ados, appelons "photos dossier". J'ai donc dû faire de la veille, afin de pouvoir me démarquer immédiatement après que les photos furent poster.
C'est donc un triste constat, je suis accro à Facebook. :(
Mais cela a été une expérience intéressante, cela m'as permis de mieux voir ce que change Facebook dans nos vies à tous. En effet, depuis un certains temps, je me dis de plus en plus que Facebook sa craint à mort, allant jusqu'à penser que je ferais peut-être mieux de le quitter avant que ce ne soit trop tard.
Un ami prend une photo, elle se retrouve sur Facebook, vous et d'autres personnes êtes marqués. Vos amis, les amis des autres personnes marqués et les amis des personnes marqué de toutes les photos de l'album(nyu? o.O") vous verront. C'est un peu comme si des centaines d'yeux étaient braqués sur vous. Ça ressemble un peu à Big Brother mais en pire. Il devient donc urgent que les utilisateurs comprennent les risques qu'ils en courent, rapport à leur vie privée. Et pourtant... Je ne compte plus le nombre de mes "amis" ce complaisants sur Facebook malgré les photos d'eux à moitié nu et visibles de tous. Ahurissant.
Cela me donne donc l'occasion d'annoncer le prochain article: Facebook is watching you.
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